VU Electrique : Maxus étudie l’appétit des artisans français

, mis à jour le 07/12/2025 à 00h13
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maxus

Le constructeur chinois Maxus a voulu vérifier les freins qui pouvaient exister entre les artisans et les véhicules électriques… notamment construits dans l’empire du milieu . Chinois et électrique est ce que c’est vraiment «  la double peine » ou est-ce un fantasme ? Le constructeur a commandé une étude en ligne  pour en avoir le cœur net.

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Voilà un travail intéressant même s’il se limite à 160 artisans interrogés.  L’étude-express montre que 26 % des artisans interrogés possèdent déjà ou prévoient d'acquérir un véhicule utilitaire fonctionnant à l’électrique prochainement.  Le premier critère de choix serait la fiabilité et la robustesse (68 %)  suivi du prix d’achat (66 %) et de la capacité de charge utile (58 %) Ceux qui possèdent déjà un véhicule électrique classent les qualités principales d’un véhicule électrique de la manière suivante : autonomie suffisante (83 %), bon rapport qualité/prix (61 % et enfin une recharge rapide et facile (51 %). Que le fabricant soit chinois, cela ne dérange pas 48 % des personnes interrogées qui se disent « ouvertes ». Les artisans considèrent que la confiance en une nouvelle marque étrangère passera par une solide garantie constructeur (51 %), des prix très compétitifs (49 %) et la présence d’un réseau de service après-vente dans l’hexagone (48 %). Le frein à l’achat d’un véhicule électrique sera le prix trop élevé (70 %) et la faible autonomie (54 %) mais paradoxalement, les répondants parcourant plus de 100 km par jour sont plus enclins que les autres à rouler en électrique. Au final cette étude express montre qu’il existe une place pour l’offre électrique chinoise au sein de l’artisanat et en tout cas montre quels critères permettraient de l’agrandir !

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